Sadness is rebellion: HORS-LES-MURS - LAC COLLECTION, Paris
Forthcoming exhibition
Overview
Sadness Is Rebellion, emprunté à la chanson éponyme du duo Lebanon Hanover, trouve son origine dans une conviction essentielle : la tristesse, loin de constituer un signe de faiblesse ou de repli, peut être envisagée comme un acte de rébellion poétique et une force transformatrice.
Réunissant cinq jeunes artistes dont la pratique picturale oscille entre figuration et abstraction, l’exposition propose un essai visuel sur la vulnérabilité et la « fragilité » dans les discours artistiques contemporains, en interrogeant des multiples visages : celle, d’abord, qui renvoie à la solitude du sujet contemporain confronté à l’aliénation et au déracinement existentiel ; celle qui résonne collectivement à travers un mal-être social généralisé; celle, enfin, qui s’enracine dans l’effritement des liens communautaires au profit d’une société fondée sur la consommation et l’auto-exploitation narcissique.
Comment la tristesse peut-elle devenir une forme de rédemption dans un monde gouverné par les politiques du « bonheur éternel » ? Où se situe l’art aux limites du sensible, et quels sont les véritables espaces où l’individu artistique — qu’il soit artiste, curateur ou spectateur — peut s’exposer dans un panthéon émotionnel qui accepte la tristesse, dans ses diverses manifestations, comme un lieu de recherche et de transformation ?
Sur une proposition de
Dayneris Brito
Artistes
Claudio Coltorti, Fernanda Galvão, Mena Guerrero, Garance Matton, Kyvèli Zoi
Avec un performance de
Fernanda Ballesteros
Avec la contribution des commissaires
Daniela Fernández
Margaux Knight
Christina Chirouze
Chloè Bonnie More
Noelia Portela
Réunissant cinq jeunes artistes dont la pratique picturale oscille entre figuration et abstraction, l’exposition propose un essai visuel sur la vulnérabilité et la « fragilité » dans les discours artistiques contemporains, en interrogeant des multiples visages : celle, d’abord, qui renvoie à la solitude du sujet contemporain confronté à l’aliénation et au déracinement existentiel ; celle qui résonne collectivement à travers un mal-être social généralisé; celle, enfin, qui s’enracine dans l’effritement des liens communautaires au profit d’une société fondée sur la consommation et l’auto-exploitation narcissique.
Comment la tristesse peut-elle devenir une forme de rédemption dans un monde gouverné par les politiques du « bonheur éternel » ? Où se situe l’art aux limites du sensible, et quels sont les véritables espaces où l’individu artistique — qu’il soit artiste, curateur ou spectateur — peut s’exposer dans un panthéon émotionnel qui accepte la tristesse, dans ses diverses manifestations, comme un lieu de recherche et de transformation ?
Sur une proposition de
Dayneris Brito
Artistes
Claudio Coltorti, Fernanda Galvão, Mena Guerrero, Garance Matton, Kyvèli Zoi
Avec un performance de
Fernanda Ballesteros
Avec la contribution des commissaires
Daniela Fernández
Margaux Knight
Christina Chirouze
Chloè Bonnie More
Noelia Portela